Navigation

Topsites

Topsite n°1
Topsite n°2
Topsite n°3
Topsite n°4

Liens utiles

Guide du débutant
Afficher les sujets non-lus
-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

Partagez

Sybile - Wandering for the peace of my mind.

Sybile
Sybile

Messages : 294

Feuille de personnage
Classe: Civil/Danseuse
Niveau:
Sybile - Wandering for the peace of my mind. 1460930484-bar-left2/10Sybile - Wandering for the peace of my mind. 1460930015-empty-bar  (2/10)
Inventaire:
Inventaire<span id=Arme" loading="lazy" />Arme
11Lance de bronze
22Louche
33
44
55
Sujet: Sybile - Wandering for the peace of my mind.   Mer 4 Mai - 15:37

Informations

• Prénom : Sybile
• Surnom : /
• Âge : 20 ans (peut-être?)
• Race : Humaine

• Groupe : Vagabond
• Classe : Civil
• Avantage : Chance
• Désavantage : Force

Description physique

Un sourire malicieux, des cheveux blancs comme la neige, des yeux dorés. Et des bandages. Plein de bandages.
Ces éléments sont sans doute ceux qui vous sauteront aux yeux la première fois que vous apercevrez Sybile dans la rue. Le reste vous échappera sans doute, puisque la jeune femme a l'habitude de faire profil bas. Est-elle grande ? Petite ? Mince ? Imposante ? Que porte -t-elle comme vêtement ?? Impossible de vous en souvenir. Mais personne ne vous en blâmera et surtout pas la première concernée. Être une ombre lui convient très bien, on peut même dire qu'elle a travaillé dur pour cela, d'une certaine manière et sa comparse, Zin'ka lui a apprit bien des choses en la matière. S'oublier, se fondre dans le décor, disparaître et ne faire qu'un avec la foule, l'environnement : c'est tout un art qui lui est nécessaire, un mode de vie qu'elle a adopté.

Mais, si on a la chance de pouvoir s'attarder sur elle, on peut voir plus que la couleur de cheveux, peu commune et ses membres bandés. Sybile est plutôt dans la norme en ce qui concerne sa taille, qu'elle estime être entre 163 et 166 centimètres. Son corps est musculeux à cause de l'art de la danse qu'elle pratique assidûment mais également grâce aux nombreux voyages qu'elle effectue depuis sa naissance.
Cependant cette vie d'errance à un prix, malgré une apparente bonne santé, on peut voir de çà et là, la trace des carences et des mauvais traitements qu'elle a subit étant enfant : Os du bassin saillant, tendons légèrement trop marqués au niveau des genoux, circulation sanguine hasardeuse causant des marbrures rosâtres sur une peau un peu trop pâle, maladive, ce qui l'oblige à énormément protéger sa peau lorsqu'elle voyage. Inutile de préciser que le royaume de Plegia est sa Némésis.

D'une manière générale, Sybile est loin d'être désagréable à regarder, surtout lorsqu'elle danse. Elle possède une parfaite maîtrise de son corps, un bon maintien et une certaine grâce. Son passé et sa vie sur la route ont fait d'elle une personne qui n'est pas pudique. Confiante, elle sait ce qu'elle vaux et a parfaitement conscience d'être plus attrayante que certaines femmes sans pour autant être une véritable beauté. Sybile a du charme et l'expérience lui a apprit à s'en servir pour servir ses intérêts.

Ce n'est qu'à la nuit tombé et à l'abri des regards de tous que la jeune femme se dévoile véritablement. Adieu, faux airs mutins et malicieux, envolé le masque de séduction. Bonjour tristesse, voile noir sur le cœur et goût amer dans la bouche. Seule, elle montre un tout autre visage, plus sérieux, grave et personne n'a jamais réussi à voir ce qui se cache sous les bandages de la jeune femme. Certaines rumeurs parlent de brûlures, d'autres d'une maladie. Mais toutes sont fausses. Les immenses bandes de tissus blanches couvrent en réalité de monstrueuses cicatrices, issues d'une tentative d'un rite pour Grima ayant mal tourné. Ces marques sont des runes qui l'ancrent dans un passé bien trop douloureux pour être pardonné.
495 mots

Description mentale

L'existence de Sybile est un miroir aux alouettes. Sur le plan physique bien sûr, mais sa psyché aussi joue à ce cache-cache. Mystérieuse, la jeune femme parle très peu d'elle-même et lorsqu'elle le fait, tout n'est que sous-entendu et interprétation. Dans la vie de Sybile, il n'y a pas de place pour la vérité. Non pas qu'elle soit une menteuse compulsive, au contraire, elle est plutôt franche et possède des avis relativement tranchés, mais elle tient à garder certaines choses secrètes. Comme toute femme à vrai dire... Mais le désir de protéger ses informations va au-delà du jeu de séduction avec une personne. Non, le non-dit est véritablement ancré en elle, comme une amarre qu'elle porte a chacune de ses paroles. La peur que l'on découvre la vérité ? Peut-être.

Alors, il y a le recto du miroir, qu'elle montre en société. Plutôt joyeuse, elle essaye toujours de se montrer optimiste, même si son côté tête brûlée peut lui causer quelques problèmes et est à la source de nombreuses bagarres dans des tavernes – situation souvent démêlées par Zin'ka. Dynamique, elle n'aime pas rester inactive et fera tout pour s'occuper le plus possible. Cette Sybile est également impudique et sans gêne. À l'aise, en apparence, avec son corps, elle n'hésite pas à provoquer son entourage pour voir quels genres de réactions elle peut obtenir. Sybile aime jouer avec la flamme et la flamme ne lui rend que trop bien. Facétieuse, farceuse, elle aime piéger son monde et gare à celui ou celle qui la vexera : la jeune artiste possède à beaucoup, beaucoup d'idées pour vous faire regretter votre parjure!
Curieuse, avide de découverte, elle n'abandonnerait sa vie sur la route contre rien au monde.

Puis vient le verso du miroir. Sybile est dévorée par la colère, la rage et la haine. Toutes ses émotions vindicatives sont orientées vers Valhart. Avec le temps, les sensations négatives sont devenues un véritable moteur pour elle, sa raison de vivre. Son unique raison de vivre. Faire payer ce monstre est la seule chose qui lui permet encore de tenir et de conserver le masque qu'elle porte en permanence. Zin'ka, sa comparse, amie et compagnonne de route connaît le lourd passé de sa protégée, mais ignore l'ampleur de la noirceur de ses desseins. Ces secrets sont bien gardés, enfermés à double tour dans son cœur qui n'attend que son heure pour enfin se venger.
3 mots

Histoire

Les souvenirs sont flous. Disparates. Pourtant, Sybile sait que ses premiers souvenirs son des nuits d'orages. Où ? Quelque part sur la route sûrement. Toute sa vie, et ce, depuis qu'elle peut s'en souvenir, n'a été faite que de routes, d'étapes et de caravanes aussi mystiques que confortables. Mais, cette vision du passé est différente à cause du froid presque glacial de la pierre contre la plante de ses pieds. Ce n'était donc pas sur la route, mais ailleurs. Sa mère lui avait déjà dit plusieurs fois qu'elle était née suite à une charmante romance. Mais Sybile n'en avait jamais rien eu à faire des histoires de cœurs passées de sa mère et pourtant, elle se plaisait à lui conter la chose. Elle lui avait raconté si souvent que Sybile pouvait raconter cette histoire mieux que personne, même sa mère faisait une piètre conteuse face à elle.


Comme sa mère, sa grand-mère et toute les femmes de sa famille, Sybile était destinée à être une artiste de cirque. Danseurs, voyants, acrobates, dompteurs, peut importait la spécialité du moment que la famille demeurait sur les routes. La mère de Sybile, Calie, n'avait pas encore seize ans lorsqu'elle rencontra un jeune homme dans la ville de Rosanne lors d'un bal sur la magnifique place des lumières. Leurs regards se sont croisés, ils se sont aimés. La nuit est passée si rapidement en sa compagnie. Pendant tout le temps où le cirque restait en ville, la lune et le soleil ne firent qu'un, leur donnant l'amère impression que les journées étaient trop longues et les nuits trop brèves.
Il disait n'avoir ni terre, ni richesse à offrir, seulement son amour et une maison aux murs solides et pendant un temps, la jeune artiste crue que ce genre de rêve sédentaire lui était accordé, possible : grave erreur. Le cirque ne s'arrête jamais, le spectacle continu et le besoin de liberté, est plus fort, plus grand. Ils se sont aimés de multiples nuits, mais cela ne suffit pas à retenir la belle, qui, décide de reprendre la route, tout en promettant à son bien-aimé de lui rester fidèle s'il en faisait de même. Ils s'épousèrent en cachette la veille du départ de Calie.

Cette idylle dura ainsi pendant quelques années. Pour elle, il était simplement Rupert, le garçon du bal, son époux, son ami, l'homme de sa vie. De cette union, aussi discrète que certaines étoiles, naquit Sybile. Une petite fille en pleine santé et au regard vif. Il fallut néanmoins attendre que le bambin atteigne environ une année avant que son père soit au courant de son existence. C'est dans la joie que Calie alla lui porter la nouvelle, mais, c'est en pleure qu'elle se sauva rapidement par la suite. Son amant n'était pas celui qu'il prétendait être. Il n'était pas juste Rupert, sans le sous, mais, brave comme un coq. Non, il était Rupert D'Ombrelys, le fils d'un des plus grand noble et notable de Viralys. Et il était marié, depuis peu. Et cette enfant bâtarde n'était pas une bonne chose.

Le petit monde de Calie se retrouva brisé. Reniée par son père depuis la naissance de Sybile – puisqu'elle n'était plus bonne à marier ; abandonnée par son époux, elle se retrouva seule. Seule, sans argent, sans espoir. Dans la version de sa mère, il y a une fin heureuse où, elle épouse un charmant jeune homme qui rachète ses dettes auprès d'une maison de divertissement de Viralys. Un certain Valhart, il est artiste lui aussi et parcours le monde. Dans le conte de fées de Calie, tous les trois ainsi que les compagnons de son époux formèrent alors une joyeuse et heureuse famille. Une troupe et vivent sur la route, libre.

Peut-être était-ce vrai pendant quelque temps ? Sybile ne s'en souvient pas. Après tout, elle avait à peine quatre ans lorsque cette nouvelle vie faite d'errance et de spectacle commence. Peut-être a-t-elle été heureuse ? Peut-être même a-t-elle aimé Valhart ? Elle ne s'en souvient plus et ne veut pas s'en souvenir. Puis que dans la version de ce récit, son beau-père n'est qu'une cible, un homme à abattre, la raison de ses plaies au corps et au cœur.

Sa vie auprès de Valhart lui avait toujours semblé étrange, mais elle ne l'avait jamais questionné. Il y avait des règles à suivre, des gens avec qui parler et d'autres à ignorer, des prières à récités. Ce n'est que vers ses onze ans que Sybile commença à se dire que quelque chose d'étrange se tramait dans sa vie. Pourquoi est-ce que la troupe ne se mélangeait à personne, sauf lui ? Pourquoi sa mère avait-elle maigri aussi drastiquement au fil des ans, malgré son apparent bonheur avec son époux ? Pourquoi tout le monde était toujours d'accord avec lui d'ailleurs ? Intriguée, un soir, où le cirque campait à l'extérieur d'une grande ville, Sybile s'échappa. D'ailleurs, quelle idée de mettre des verrous aux roulottes ? La liberté n'avait pas de serrure à ses yeux d'enfants.

Pour la première fois, elle découvrit l'ambiance d'une ville. La chaleur des gens qui s'étonnèrent tous de la voir seule, mais surtout si mal vêtue et sale. On émit alors, l'hypothèse qu'elle venait de la secte. La secte ? Qu'est-ce qu'une secte ? Elle posa la question, mais personne ne lui répondit. Ils étaient tous trop gênés pour lui expliquer l’odieuse vérité. Sa petite aventure tourna court lorsqu'un des acolytes de Valhart la reconnu dans la rue et la ramena – de force au camp du cirque. Ce soir-là, Sybile reçut la correction de sa vie. Un profond sentiment de haine et d'injustice se nicha alors dans son cœur. Plus jamais, elle ne ferait confiance à Valhart et décida de tout faire pour s'instruire à la barbe de ce dernier.


La chose ne fut pas aisée et beaucoup punitions forgèrent un véritable caractère rebelle à l'adolescente. Peut-être avait-elle fait le pas de travers de trop ce soir-là ? Peut-être était-ce prévu ainsi ? Sybile ne possède aucune de ces réponses. Pourtant, elle se souvient du sourire mesquin qu'il avait sur le visage, lorsque le soir de son premier sang, à l'âge de quatorze ans, il l'avait fait mander. S'attendant à recevoir une nouvelle série de coups, Sybile s'était préparée. Mais quelque chose de bien pire encore l'attendait. A peine avait-elle fait un pas dans la tente de Valhart, qu'on la frappa à la tête.

Lorsqu'elle reprit connaissance, c'était sous le joug d'une douleur brûlante, dévorante et inextinguible. Un sourire carnassier sur le visage, il exposait le corps nu de sa pupille au reste de la troupe, attachée à une pierre sablonneuse. Tous étaient habillés de noirs, des capuches recouvraient leurs visages. Si sa mère était là, Sybile ne la reconnut pas et elle ne réagit pas. Mais, plus d'une silhouette frémit lorsque Valhart, invoqua Grima. Le culte n'était pas mort, mais jamais l'adolescente avait songé à cette éventualité. La lame continua à trancher sa chair. Ce n'était pas pour la tuer, non. Mais pour la blesser, maquer sa chair à jamais. Sybile s’évanouit à plusieurs reprises, mais Valhart prenait toujours le soin de la ramener parmi les vivants.

À l'aube, des adeptes s'enroulèrent dans des draps. Le supplice avait duré plus d'une nuit. Mais le rituel avait échoué. Au bord de la mort, la jeune femme mit des mois à se rétablir. Son bras droit, mais également sa jambe droite ainsi qu'une partie de son torse avaient été mutilées de la plus horrible des manières. Respirer lui était difficile, marcher lui était impossible. Mourante, elle passait ses journées, enfermée dans une caravane à l'écart du groupe avec comme seul réconfort, un repas par jour.

La Fortune tourne, lorsqu'un soir, quelqu'un oublie de verrouiller la porte de sa geôle. Peut-être était-ce sa mère sous le joug de la culpabilité ? Un autre adolescent trop peiné de la voir ainsi ? Impossible de le savoir. Et cela restera sans doute un mystère pendant longtemps. Au beau milieu de la nuit et pour la première fois depuis deux ans, ses pieds foulent l'herbe et non pas le bois sale de sa caravane. Qu'avait-elle ressentit cette nuit-là ? L'euphorie était bien loin de la réalité et, grâce à cette énergie, elle se déplaça. Laborieusement, douloureusement, mais, il fallait qu'elle s'en aille. Il fallait qu'elle marche, court, s'enfuit loin de cet enfer. Ce qu'elle fit juste avant d'être retrouvée par Zin'ka.  

La première fois qu'elle avait vu l'ombre de la tagüel, Sybile avait pensé à une mauvaise blague. Ou a un délire à cause d'une fièvre. Mais non, cette demi-lièvre était bien réelle. Tout comme son étreinte sur ses poignets et son sourire, doux. La guilde de voleur l’accueillit sans réellement poser de questions. Elle avait eut une vie avant ? Et alors ? Chacun a droit à une chance dans la vie.

La jeune femme réapprit à vivre doucement au cours de l'année qui suivit. Et petit à petit, son visage qui avait oublié comment sourire redevint plus lumineux. Le goût de la musique et de la danse lui revinrent, comme à l'époque où elle était encore innocente et ignorait tout. Et la vie auprès des voleurs n'était pas si mal et la jeune femme apprit même quelques trucs et astuces au passage... Mais l'appel de la liberté était trop fort, la même qui avait poussé sa mère a abandonné son premier amour et le père de sa fille. Zin'ka trop attaché à sa petite protégée n'eut pas le courage de la laisser partir.

Cela fait bientôt 3 ou 4 ans que les deux jeunes femmes vont de ville en ville, partout dans le monde, survivant grâce à une combine savamment orchestrée : pendant que Sybile danse et envoûte la foule, Zin'ka se charge de rendre les poches plus légères.
Une vie simple, d'errance, qu'elle n'échangerait pour rien au monde... À moins que la vengeance ne soit pas un tribut trop lourd à payer.
3 mots

HRP

• Le personnage sur mon avatar •
Kaine de NieR

• Comment j'ai connu le forum •
Je l'ai fondé avec Robinet et Akapouille !

• Mes remarques sur le forum •
Nul !

• Le code du règlement •



Sybile - Wandering for the peace of my mind.

Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Hop hop hop ! C'est à vous ça ? [PV Sybile]
» Squat dangereux... [PV. Sybile]
» Sybile • la jolie voleuse de rêve
» La guerre contre l'esclavage! (MISSION) (Sybile, Zin'Ka et Ingvald)
» Parfois, il faut abandonner quelque chose pour obtenir se que l'on veut (MISSION) (Ayden, Sybile, Manfred et Reyn!)

Fire Emblem Rebirth :: Hors-jeu :: Registre des personnages :: Validés+
Sauter vers: