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Ingvald, la terreur de Plégia.

Ingvald
Ingvald

Messages : 28

Feuille de personnage
Classe: Voleur
Niveau:
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Inventaire:
Inventaire<span id=Arme" loading="lazy" />Arme
11Epée de bronze
22Pierre du corbeau
33
44
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Sujet: Ingvald, la terreur de Plégia.   Mar 24 Mai - 20:20

Informations

• Prénom : Ingvald
• Surnom : Le Vautour
• Âge : Une cinquantaine d’années
• Race : Laguz aigle

• Groupe : Vagabond
• Classe : Voleur
• Avantage : Vitesse
• Désavantage : Magie

Description physique

Ingvald est imposant, dans tous les sens du terme ; Physiquement, cela se traduit par sa grande taille, sa constitution assez robuste, et ses immenses ailes aux subtiles nuances de sable et de terre. Lorsqu’il arbore sa forme ordinaire, il est plutôt disgracieux. Même si son visage reflète un passé de beau jeune laguz, il est désormais couvert de cicatrices toutes plus avilissantes les unes que les autres. Son oreille droite a été sectionnée, ne laissant désormais plus qu’un morceau de chair comparable à une protubérance de chauve-souris. De multiples cicatrices, désormais refermées, mais toujours visibles, lui marquent le visage comme des inscriptions gravées. Elles sont relativement petites, mais restent un sujet de grande colère chez le bandit. Mais celle qui est sans conteste la plus choquante, la plus la plus repoussante, c’est celle de son torse, qu’il exhibe en permanence. C’est, visiblement, l’œuvre d’une adroite lame, car elle court sur tout son torse et atteint, en son centre, la largeur d’une patte de chien. Ces marques d’une vie d’incessants combats sont comme des rappels à l’ordre pour lui, et quiconque les dénigre sous ses yeux aura toujours une bien trop grande estimation de son espérance de vie.

Au-delà de cet aspect vraiment inquiétant du personnage, à noter que ses cheveux de jais sont les seuls qui dépassent du foulard qu’il s’est enroulé autour de la tête. Ses vêtements sont typiques d’un homme du désert. Ils n’ont pas du tout pour fonction de protéger leur propriétaire, mais simplement de l’aider à supporter les grosses chaleurs. Comme dit plus tôt, ils laissent son torse apparent, ce qui peut parfois déstabiliser les plus impressionnables humains. La stature de l’homme-aigle le rend, sans conteste, assez charismatique malgré la laideur de son visage mutilé. Une impression qui est d’autant plus forte lorsqu’Ingvald utilise une bestipierre. C’est véritablement là que s’installe la terreur. Prenant la forme d’un immense aigle aux plumes couleurs d’herbe sèche, il mesure alors bien cinq mètres d’envergure les ailes déployées. Sa rapidité n’a alors plus d’égale, et malgré la taille de la cible, bien adroit serait l’archer qui parviendrait à le toucher. Ses cris percent même les murailles les plus épaisses, pour venir se nicher dans le cœur des plus lâches et provoquer leur fuite terrifiée sur fond de lamentations désespérées. C’est ainsi que l’on décrit Ingvald le Vautour, le fléau du désert de Plégia.
394 mots

Description mentale

Haine, haine de soi, haine des autres, haine de sa propre faiblesse, nourrissant un courroux toujours plus puissant à l’égard de tous les humains qui peuplent ce continent, ce monde en entier même. Sa peau d’ambre transpire les cendres d’une empathie qu’il a, depuis longtemps, perdu au profit de cette véhémence sordide qui le pousse à piller et massacrer depuis quelques années maintenant. Ingvald ne parle pas, il hurle, que ce soit pour encourager ou terrifier, qu’il s’adresse à quatre ou mille, il hurlera toujours de sa voix de métal rouillé. Taciturne comme le visage d’un fossoyeur, il ne parlera jamais de lui, toujours des autres, et souvent avec exaspération.

Aux Laguzs, il voue un amour bien enfoui, mais qui motive tous ses actes. Son peuple est, pour ainsi dire, tout ce qui lui reste, il s’évertue donc à le protéger autant qu’il le peut. Cependant… cependant si vous êtes un Beorc, n’espérez aucune considération de la part du Vautour. Sa haine envers le peuple des humains est bien trop grande et brûlante pour pouvoir l’étouffer avec de simples actes de bienveillances. Car cette colère qui le brûle est ce qui le fait avancer, ce qui le rend puissant, et qui pousse tous ses hommes à le respecter, mais aussi à le craindre. Combattant émérite, Ingvald peut cependant perdre rapidement son sang-froid, et faire preuve d’une cruauté rarement atteinte lorsqu’il fait face à des Beorcs, même désarmés.

Dirigeant sa bande d’une main de fer, il punie de mort quiconque conteste son autorité, mais au-delà de ça il est un leader responsable, juste avec ses semblables, et dont la prolifique carrière criminelle permet de faire vivre le groupe tout entier. Il ne fait pas confiance facilement, mais il saura récompenser par celle-ci les laguzs qui parviendront à l’amadouer à force de nombreux efforts.  
302 mots

Histoire

Qui peut vraiment assumer connaître les origines de Ingvald le Vautour ? Et bien personne, enfin personne qui soit encore à ses côtés en tout cas. Le début de cette histoire n’est pas bien passionnant, de toute manière, et la suite est d’autant plus dramatique qu’elle serait une véritable mine d’or pour tous les bardes de la région. Je vais vous la raconter à leur place, vous aurez ainsi le récit le plus fidèle possible. Venez, et écoutez le destin tragique de Ingvald, le Vautour qui a basculé du bonheur à la terreur.

Ingvald a eu une enfance des plus ordinaires. Habitant un village perché dans les montagnes au nord d’Emmeryn. Lui et sa tribu vivaient bien, paisiblement et humblement. Le jeune Ingvald projetait de prendre une partenaire, mais il se questionnait encore sur celle qu’il ferait sienne. A cette époque, la générosité était son maître-mot, et il accueillait avec bonheur les gens qui n’avaient rien à manger à sa table. Cela arrivait assez souvent, les proies se faisant rare dans la région. Mais c’était le prix à payer pour vivre loin des beorcs, qui considéraient les peuples laguzs comme sauvages et indignes d’intégrer la civilisation. Ingvald se désolait de cette situation, mais il n’était pas homme à vouloir changer le monde.

Seulement, le monde a changé pour lui.

Bien retranchés dans leur petite vie paisible, lequel d’entre eux aurait pu prévoir une telle attaque ? Des dizaines, peut-être des centaines, de Beorcs, l’épée ou la hache dans la main, qui se ruèrent de nuit sur la tribu endormie. Ingvald se réveilla recouvert de suie, une fumée épaisse lui brûlait les poumons, et il toussait bruyamment. Voyant à peine ce qu’il y avait devant lui, il eut bien du mal à sortir de sa petite hutte. Si seulement il n’avait pas fait tout ça simplement pour trouver le chemin d’une lame de fer rouge, noyé dans le sang de ses camarades. Il reçut un immense coup dans le torse, qui le repoussa de nouveau dans la masure. Ses tympans raisonnaient de multiples cris indistincts. Femmes comme hommes, enfants et bandits, ils hurlaient tous, ils hurlaient dans les oreilles d’Ingvald. Heureusement pour lui, il s’assoupit quelques instants plus tard, asphyxié par la fumée.

Ses yeux s’ouvrirent souvent ensuite. A chaque fois le paysage changeait, mais toujours restait ce constant flou, manifestation explicite du degré d’épuisement dans lequel il se trouvait alors. Il sentait son corps balloter doucement, comme sur un étrange bateau, et un bruit mécanique accompagnait ce mouvement de berceuse. Ses paupières se fermèrent de nouveau, et il se rendormit. Espérons qu’il ait bénit ce moment de repos, car c’était le dernier qui lui fut octroyé par ses ravisseurs.


Aucun mot ne le sorti de sa torpeur, seulement une vive sensation de brûlure au niveau de l’entrejambe. Immédiatement, ses pupilles dorées s’ouvrirent à leur maximum, et il eut un mouvement de repli en arrière. Le hurlement d’un laguz est rarement entendu, mais il en poussait un terrible alors. La douleur, le réveil brutal, à cause de cela il mit plusieurs instants à comprendre où il était. Plusieurs beorcs puants l’entouraient lui, ainsi que d’autres de ses compagnons. Tous étaient attachés, ficelés, bâillonnés, capturés comme du vulgaire gibier. Une sourde panique commença à traverser l’esprit d’Ingvald. Les Beorcs approchaient, riaient, l’un d’eux avait un couteau dans sa main potelée.

Il fut frappé, mutilé, on lui trancha l’oreille, on lui serra la gorge pour voir jusqu’où il pouvait s’arrêter de respirer. On recommençait, encore, encore. On voulait l’endurcir, pour bien le vendre comme esclave. Ingvald entendait tout ça, il voyait tout ça, tout ce qui était fait à ses compagnons. Il était en colère, il avait mal, mais que faire ? Les jours passaient, ils marchaient, leurs ailes fatiguées ne parvenaient même plus à s’étendre. Plus aucun d’entre eux ne regardait le ciel qu’ils chérissaient tant, de peur de fondre en larmes et de donner ainsi une occasion de rire aux bandits beorcs.

Les marchands d’esclaves avaient aussi capturés une fille, une petite fille perdue dans les bois. Elle aussi était frappée, mais ils la laissaient en liberté pour qu’elle s’occupe de leurs affaires et de les nourrir. Un jour, elle s’approcha d’Ingvald qui était à moitié assommé par les traitements de ses tortionnaires. Prise de pitié par cet immonde spectacle, elle prit le couteau dont elle se servait pour préparer la nourriture et l’utilisa pour trancher les liens du laguz.

Mais immédiatement, des mains puissantes lui enserrèrent le cou. Aucun cri ne pouvait s’échapper de sa bouche. Ses pupilles révulsées hurlaient cependant, elles hurlaient de douleur à la place de la petite fille. Mais rien, rien au monde ne pouvait plus la sauver. Il faisait jour, les bandits étaient ailleurs, laissant leur marchandise moisir dans une grotte le temps de leur chasse. La petite était seule, avec Ingvald, et celui-ci la tua.

Personne ne sut d’où il tirait cette force après autant de tortures, mais il repoussa le corps jeune et sans vie devant lui, et il tomba lourdement contre une pierre luisante. Les autres laguzs attachés se mirent soudain à paniquer, craignant que la colère d’Ingvald ne s’étende jusqu’à leurs pauvres corps. Mais celui-ci prit le couteau qui avait servi à le libérer et trancha les liens de tous les autres aigles. Très vite, ceux qui se remirent de leurs émotions accusèrent Ingvald de barbarie. Un, notamment, le bouscula contre un mur, déchiré par la colère. Sans un mot, avec un simple hurlement bestial, le tueur se jeta sur lui et planta le couteau beorc dans sa tête. Il se tourna ensuite vers le reste de ses compagnons, nichés dans la pénombre de la caverne.
Ingvald a écrit:

Ceux qui veulent partir, allez-y. Ceux qui sont contre moi, allez-y. Mais ceux qui sont réellement intelligents et braves comprendront que mes actes ne sont pas le fruit d’une quelconque folie. Vous n’avez pas réalisé, durant cette captivité, la véritable nature des Beorcs ? Ils veulent nous capturer, nous vendre, nous torturer… nous sommes inférieurs à eux, dans leur langue nous sommes des sauvages, des parjures. Mais ce sont eux les barbares ! Vous oubliez ce qu’ils ont fait à notre village ! Que le ciel m’en soit témoin… Je tuerais tous les beorcs qui oseront poser leurs yeux de porcs sur moi !! Ceux qui se sentent de la même espèce que moi me suivent. Les autres, allez retrouver les restes de vos enfants, enterrez-les, et pleurez. Moi, je vais agir.
Ce discours aurait pu, et aurait peut-être dû, n’avoir d’écho chez aucun des hommes et femmes en face d’Ingvald. Malheureusement, pratiquement tous furent séduits par les mots sanglants de cet aigle aux ailes sombres. Ensemble, ils se ruèrent à l’extérieur de la grotte et prirent leur envol avec une énergie nouvelle, bien déterminés à trouver et à tuer leurs anciens bourreaux. Ce qu’ils firent, et leurs corps furent pendus aux arbres comme des étendards à la gloire des laguzs, à la gloire de leur puissance, et pour avertir tous les Beorcs de leur détermination à exterminer les faibles humains.

Depuis ce jour, la bande d’Ingvald est descendu des montagnes escarpées, pour survoler le désert à la recherche des caravanes marchandes qui l’arpentent impunément. Ils fondent, comme des oiseaux de proie, sur ces cibles faciles et les déchiquètent, puis ils jettent leurs corps sur les villages alentours. Ils sont insaisissables, dangereux, et terrorisent la population. Leur nombre grandit de jour en jour, ils ne sont jamais au même endroit, et ne fréquentent que les autres Laguzs qui partagent leur opinion. C’est un destin triste, me direz-vous, mais la cruauté humaine, bien que productive, engendre parfois de pareilles ignominies.

Prudence, à toi, qui t’aventure dans le désert de Plégia. La bande du Vautour te voit à tout instant, et s’ils décident que ta tête ornerait mieux une pique que ton frêle corps de Beorc, il en sera ainsi, peu importe tes efforts.
1138 mots

HRP

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Her'yë
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Sujet: Re: Ingvald, la terreur de Plégia.   Mar 24 Mai - 20:43
Bonsoir et bienvenue à toi monsieur le vautour ♪
Bon courage pour ta validation ^^

Ingvald
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Messages : 28

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Sujet: Re: Ingvald, la terreur de Plégia.   Mar 24 Mai - 20:56
Merci beaucoup ! o/

Sybile
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Sujet: Re: Ingvald, la terreur de Plégia.   Mar 24 Mai - 22:04
Tout est parfait pour moi ! :D

Tu es validé !
Tu peux d'ores et déjà commencer à RP si tu le souhaites en faisant une demande dans la "Gestion des personnages", poster ta fiche de liens etc...En tant que Voleur Laguz, tu commences avec une épée de bronze et une bestipierre de ton choix. Au cours de ton aventure, en ayant acquis plus d'expérience, tu pourras posséder des armes plus puissantes. Bonne continuation à toi et que Naga veille sur toi !

Pour le choix de la bestipierre, voici une liste :


Pierre du Fauve
Force +4
Défense +2
Technique +1

Mastodonte


Pierre du Félin
Vitesse +4
Technique +2
Défense +1

Roulade


Pierre du Corbeau
Chance +4
Force +2
Vitesse +1

Hybride




Voleur niveau 1 créé
PV14
FOR6
MAG1
VIT14
TEC9
CHA8
DEF3
RES4

Contenu sponsorisé

Sujet: Re: Ingvald, la terreur de Plégia.   

Ingvald, la terreur de Plégia.

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