Ma philosophie de vie est simple....Nous somme nos propre maître de notre destiné et aucune soi-disant divinité n'a le droit de nous imposer sa vision du monde. Tout être conscient fait un choix qu'il le sache ou non. C'est ma façon de voir le monde et cela m'a valu certains problèmes dans certaines contrée. Comme tout être vivant, mes réaction sur certains sujet me sont propre, je ne réagis que rarement au danger et souvent pour arborer un sourire, en ce qui concerne l'amour, je ne l'ai pas assez expérimenté pour en émettre une opinion, bien que je n'ai jamais connu la perte de quelqu'un ou de quelque chose, y penser me met assez mal à l'aise pour d'étrange raison pour continuer sur cette lancer, lorsque je ressent de la peur, je cherche surtout à ne pas la montrer, je reste droit et fière et l'inconnu me fascine dans le bon sens du termes.

Je suis quelqu'un d'assez social dans la vie de tout les jours, j'évite rarement les discussion et je suis joueur, très joueur, j'aime les pari et certaines compétition lorsque la rivalité est saine, je reste néanmoins quelqu'un de sobre dans ma façon de parler et de me conduire, je peux aussi me conduire de façon timide sur certains point.
J'aime les choses simples de la vie, certains vice sont miens, je ne le nie pas, j'aime l'alcool et la chair, j'aime la nourriture sucré ou à base de viande, en ce qui concerne le vice de la chair, tout me plait, aucune préférence dans ce domaine. Cela peut sembler malhonnête de ma part de dire ça mais certains vice me dégoute, je déteste les gens orgueilleux, qui se mette en avant pour des raison idiote ou par pur plaisir de voir plus faible qu'eux courber l'échine, je ne suis pas admirative des personnes qui ne sont pas franc avec les autres, la vérité dit se dire même si elle blesse.

Dans ce monde dans lequel nous vivons, la religion est quelque chose d'important pour la plupart des royaume et comme j'ai pus le dire plus tôt, je trouve que certaines de ces "Divinité" ne sont pas tout bonne ou pas toute mauvaise. Je hais au plus haut point le Dragon Divin Naga tout autant que le Dragon Déchu Grima, leur querelle débouche sur des conflit que les humains n'ont pas besoin et je ne sais pas pourquoi, la présence de leur "élu" me font souffrir avec ma cicatrice et mon tatouage qui me brule, je n'ai pas de raison de souffrir et je ne comprend pas du tout pourquoi cela se passe.
la politique ne m'intéresse pas, j'en connais les rouages et c'est tout, je ne me vois pas à chercher à devenir amis des seigneurs de tout les royaumes.
Disons le franchement je suis plus un prince des tavernes qu'autre chose, mais je suis un bon prince qui se fiche de qu'elle race vous êtes du moment que vous soyez allié ou ennemis, cela dépendra de nos rencontre.

j'ai beau avoir eu une longue vie pour l'instant, je ne peux qu'avouer parmi ces cinq siècle il y'a eu des périodes très agité comme d'autre plus calme voire même des absence totale d'événement marquant dans ma vie, surtout que je n'ai aucun souvenir de mes 150 première année de ma vie, je n'ai que quelque bribe et quelque flash de certains lieux.

Mon plus lointain souvenir enfin, je devrai dire bribe d'un passé fragmenté remonte surement au tout début de mon existence, c'est un petit village tranquille, je suis accompagné d'une très belle et très grande femme, peut-être ma mère ou une personne qui occupe ce poste familiale, Cheveux extrêmement blanc et visage angélique, vraiment une très belle femme, la seconde image qui apparaît c'est des soldat qui s'affronte avec ce même village en feu comme fond pour se tableau que je qualifie de macabre, des gens mort partout, le bruit du fer qui rencontre un homologue de même matière, le bruit de flèche qui fende l'air et le bruit caractéristique lorsqu'on utilise un tome puis je vois un soldat foncer vers moi, je cours pour fuir, je me retourne pour voir si j'arrive à le distancer et une lame me frotte le visage, puis la lame se plante dans mes cotes et je sens alors mes force me quitter, je serre un caillou, mon bien le plus précieux et lorsque le soldat se prépare à m'achever, je le vois effondrer face à une personne armé d'une hache puis plus rien, cela ne peut être vrai vu les marques qui s'affiche sur mon visage et mon corps.

La seconde plus grosse période de ma vie est lorsque j'ai commencer à me battre dans une troupe de mercenaire, pas de seigneur pour nous diriger, pas de querelle inutile, j'ai rencontrer mon plus grand frère d'arme dans cette troupe, c'est lui qui m'apprit à me battre, à combattre avec une lame et un tome, je lui dois tout ce que je suis, il a été comme un père pour le jeune homme  que j'étais ,je ne sais plus qu'elle âge j'avais ce jour là mais c'était lors d'une guerre entre Plégia et Yllise. Ces déclaration sur la guerre restera graver dans ma mémoire, une phrase qui donne tout son sens à ce que nous étions, des mercenaires.

On raconte que c'est en enfer que l'on comprend le véritable sens de l'horreur, la première des formes d'effroi, y'a pas à chercher très loin, c'est ici sur le sable lourd des champs de batailles, cette frontière est l'un de ses lieux où l'on va se déchiqueter et s'entretuer sans connaitre les noms de ce que l'on va trancher, on a un but, on a des ordres et on va se battre jusqu'à a mort; c'est tout, c'est simple et c'est ça l'horreur. C'est celle qui corrompt le cœur des hommes bons pour nous faire aussi froid et mécanique que nos arbalète et canon, ne chercher pas la peur dans le surnaturel, regardez plutôt autour de vous, tout ces conflit armé sont bien réel, rendez naturel ces combat et vous serez plus effrayant que les monstres qui terrifient vos enfants.

Chaque jours de survie était une victoire mais les bonnes choses ont une fin, la guerre était fini et avait ruiné les deux royaumes qui se faisait front, je quitta cette compagnie pour faire quelque chose d'autre de ma vie, je ne sais que me battre, manger, boire et m'amuser avec certaines jouvencelle mais j'ai une morale qui me dictait d'aider certains village, de tuer des bandit à la chaines pour aussi bien sauver des gens innocent mais surtout parce que le sang appel le sang, c'est bien connu et puis il faut dire que l'un de ses enfoiré de dragon à mit le monde en pagaille, saloperie de Grima. Je voulais tout autant le voir éliminer, mais bon je n'avais pas la force pour, je tuer ces monstre hideux, c'est la première fois que ma dracopierre fut autant servi, J'aidais chaque petit hameau contre les attaques de ses monstres parce que le veilleur de ce temps avait à faire durant une énième guerre contre Plégia, puis contre un certains Walhart sur le continent de Valm, j'avoue avoir prit part à cette guerre, du coté des veilleurs, en tant que simple soldat venue renforcer l'effort de guerre, j'ai quitter la guerre peut après qu'un certains Basilio fit croire à sa mort et je retourna vers Plégia, ma marque et ma cicatrice me brulait plus je me rapprochait de ces lieux, les pions du Déchu proliférait et je fit mon possible pour en éliminer mais quand un dragon géant apparait dans le ciel, on se rend vite compte de notre faiblesse mais qu'importe la différence de puissance je ne pouvais que haïr cette être ainsi que son homologue soit disant plus lumineuse. Ces "Divinité" causait du tord à tout dans leur guerre, leur enfantillage, Naga ne vaut pas mieux que Grima, tout ceux qui leur importe et leur vision étrique de ce monde, ce monde qu'il veulent voir devenir leur en imposant leur propre volonté.
Ce jour marqua le moment où je vit en vagabond, me détachant de ses pions de Naga et de Grima, ces pions qui ne font qu'obéir aveuglément à la volonté de quelqu'un qui se croit supérieur, de simple jouer au mains de personne qui se croivent grande et puissante.