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The city that never sleeps [PV Adaline]

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Sujet: The city that never sleeps [PV Adaline]   Jeu 21 Juil - 13:04
Le dodelinement doux de la carriole commençait à pousser doucement Ko'Wei vers les bras de Morphée. A coté de lui, Ki'Wo, client de son oncle, racontait une anecdote inintéressante au jeune mage noir, qui feignait avec de plus en plus de mal l’intérêt. Ko'Wei avait déjà rencontré à de nombreuses reprises le marchand de soie qu'il accompagnait. Un homme ventripotent au sourire bonhomme et dont les nombreux bourrelets cachaient presque un regard inquisiteur. Le mage noir ne savait pas quoi penser de lui. En effet, il était le genre d'homme à la fois trop désagréable pour être totalement apprécié, mais aussi trop sympathique pour être haï.

Pour essayer de se sortir la tête du brouillard, Ko'Wei se reconcentra sur sa mission. Son objectif était simple : « tonton » n'ayant absolument aucune confiance dans les habitants de Rosanne, il avait pris l'habitude de toujours envoyer un magicien avec chaque caravane pour se prémunir de quelconques malédictions ou tentatives de prise de contrôle mental. Appellez le tonton paranoïaque si vous voulez, mais au moins, il n'a jamais eu ce genre de soucis. « Tonton » avait été content que Ko'Wei se propose. C'était la première fois depuis … et bien, depuis toujours que Ko'Wei émettait l'idée de retourner dans son pays. Qui sait, pensa tonton, peut être que ce fainéant se décidait enfin à se mettre en marche pour reprendre son destin en main. C'est pour cela qu'il avait accepté l'aide du jeune mage noir.

L'arrivée à Viralys fut assez secouée. Passer du calme plat de Mei'An à la fureur de la plus vivante des villes du monde était … assez difficile pour le jeune homme. De partout, il y avait des tenues extravagantes, des odeurs, des bruits. C'en était presque trop pour le jeune homme, qui sentait un mal de crâne poindre. Heureusement, se dit il, des tractations commerciales seraient plus calme. Et il avait raison. Après être entré dans un château qu'il ne connaissait pas, Ko'Wei suivit Ki'Wo et son guide dans un dédale de pièces toutes plus richement décorées les unes que les autres. Adepte d'un minimalisme un peu plus spartiate, Ko'Wei ne trouvait pas la décoration à son goût. Cela lui donnait l'impression que celui qui avait décoré les pièces avait simplement décidé de tout mettre et de laisser au visiteur la charge de ne regarder que ce qu'il appréciait.

Les négociations durèrent de longues heures. Dès les vingt premières minutes, Ko'Wei fut complètement largué. Certes, il n'avait pas non plus fait d'effort surhumain pour suivre. Les tractations d'un marchand de soie devaient être à peu près au niveau de l'histoire proto-moderne du continent Valmien sur l'échelle de l'ennui du mage noir, c'est a dire presque tout en haut. Il se contenta juste de faire ce qu'on lui avait demandé, surveiller l'activité magique dans la pièce, au cas où.

Tout se passa correctement et l'heure du repas fut arrivé. Plus qu'un repas, c'était un véritable banquet. Sur les tables en bois étaient posés de lourdes assiettes toutes remplies de mets aussi différents les un que les autres. Ko'Wei ne connaissait pas la moitié des plats, et cette cacophonie olfactive fit revenir son mal de crane. D'un pas déterminé, il quitta la table après s'être excusé et alla s'accouder au balcon, regardant la ville de nuit. Ko'Wei avait l'impression que jamais Viralys ne s'endormirait. Il pouvait voir des maisons aux lumières allumées, entendre des cortèges de personnes ivres brailler leur bonheur. Quelle vie étrange, pensa t'il. Dire que c'est celle là qu'il aurait du avoir.

Il se mit a jouer avec sa chevalière, la tournant et tournant jusqu'à ce que son doigt commence à le lancer. Une sombre pensée venait d'entrer dans l'esprit du jeune homme.

Dire que celui qui l'avait privé de tout ça était quelque part dans cette ville.

Adaline
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Sujet: Re: The city that never sleeps [PV Adaline]   Sam 30 Juil - 18:10
La nuit venait de tomber sur Viralys et Adaline avait beau se tourner et se retourner dans son lit, elle n'arrivait pas à s'endormir. Le massacre dont elle avait été témoin à Ylisse hantait encore ses rêves. Chaque fois qu'elle fermait les yeux, elle pouvait revoir ces ombres envahir la salle du trône. Seulement la plupart du temps, Taurok n'apparaissait pas pour sauver la mise à tous ces vaillants soldats qui avaient combattus à ses côtés. Elle se réveillait après avoir succombé à ses blessures. Elle avait déjà eu droit à toutes les possibilités. Une lance dans le coeur, sa gorge tranchée, un coup dans le bas du ventre... elle avait même finit par mourir de sa plaie à la cuisse. Et à chaque fois elle se réveillait, en sueur et incapable de se rendormir. Elle avait pourtant manqué de sommeil pendant trop de temps et était allée se coucher en fin d'après-midi. Pour une fois elle avait fini par trouver le sommeil et s'était réveillé avant que la nuit ne tombe. Pour la première fois depuis des semaines, la jeune marquise se sentait reposée et elle n'allait certainement pas gâcher son temps à avoir d'autres cauchemars.

Elle resta allongée encore quelques minutes, fixant le plafond blanc et ses moulures en plâtre présentes tout autour de la pièce. Elles étaient pourtant bien plus élaborées aux coins et au centre de la pièce. Adaline avait toujours eu l'habitude de les détailler avant de s'endormir, elles la réconfortaient, lui rappelait qu'elle était chez elle et que rien ne pourrait l'atteindre ici. Mais depuis qu'elle était allée en Ylisse, elle n'en était plus si sûre et des frissons n'arrêtaient pas de la parcourir. La jeune femme se releva lentement en position assise, passant ses mains sur son visage, essayant de se réveiller d'un mauvais rêve. Sauf qu'il s'agissait de sa réalité. Elle qui croyait que rien ne pourrait être pire que sa malédiction actuelle. Supporter de vivre comme une hybride? Dans un monde ne faisant que les dénigrer? En fait ce n'était pas le pire. Il y avait toujours pire, même lorsque l'on s'attendait à finalement trouver sa voie. Elle venait enfin de quitter la Rosanne, elle venait enfin de voir le monde! Elle n'espérait pas un aussi bon accueil. Un léger sourire apparu sur son visage tout en expirant légèrement, marque extérieure de son cynisme grandissant.

Sortant de son lit, elle enfila une tenue pour résister au froid, enfila les premières chaussures qu'elle trouvait et descendit les marches jusqu'à la porte d'entrée. Prenant un châle au passage, elle s'engouffra dans la nuit. Se dirigeant vers l'écurie, Adaline scella son cheval et se dirigea vers la Place des Lumières. Elle adorait cet endroit, particulièrement de nuit. Il était plus vivant que jamais, avec toute cette musique, ces couleurs. Il s'agissait de la seule chose que la jeune marquise pouvait voir qui lui mettait un peu de baume au coeur. Un endroit qu'elle avait toujours apprécié malgré ce qu'elle avait vécu dans ce maudit pays, où régnaient la corruption et la folie des grandeurs. Arrivée sur place, elle confia la garde de son étalon à l’écurie de l’auberge la plus luxueuse de la capitale. Après tout, sa famille avait les moyens et depuis qu’elle était revenue d’Ylisse, la jeune femme avait procédé à quelques changements dans son éducation. Elle avait accepté de continuer à conserver les apparences, à être garde de la ville, mais elle n’accepterait plus aucun ordre indisposé qu’ils auraient pu lui donner. Elle les avait menacés de dévoiler l’infidélité de sa mère et s’il le fallait, son état. Ils avaient ris face à cette bravade. Jusqu’à ce qu’elle leur explique qu’elle n’avait pas besoin de se trouver dans ce pays pour révéler ce genre de choses, et sa disparition ne ferait que confirmer ses dires. Ils étaient alors devenus livides, et Adaline avait pu négocier deux trois modifications dans sa clause de liberté conditionnelle, comme celle d’avoir un accès illimité à la fortune familiale.

La jeune marquise remercia le garçon d’écurire avant de s’aventurer sur la Place des Lumières et profiter de l’euphorie collective. Des foules étaient amassées devant des acrobates, des hommes sortaient des bordels avec une fille au bras et les odeurs de sueurs et de parfums bon marché embaumaient l’air de manière nauséabonde. Pourtant, Adaline continuait d’admirer cette insouciance maladive et ces visages réjouis. Elle-même commençait à profiter de l’atmosphère de cet endroit. Elle continuait à déambuler sans s’arrêter, jusqu’à lever les yeux et remarquer le seul individu ne semblant pas être à la fête. D’ailleurs son accoutrement détonnait particulièrement, surtout dans la capitale du pays. Les rosanniens étaient connus pour leurs tenues vestimentaires, colorées et extravagantes, lui se contentait de frusque noires et son visage exprimait un profond ennui face à ce qu’il se déroulait sous ses yeux. Un léger sourire apparut sur les lèvres d’Adaline, encore un rabat-joie sur cette terre pourrie jusqu’à la moelle.

"Excusez-moi ? Bonsoir cher monsieur ! Dites-moi, serait-il si complexe pour vous de faire semblant d’être heureux ? Vous savez que vous avez le droit de profiter de cette soirée n’est-ce pas ?"

Cette réplique était certes des plus étranges, mais elle venait de sortir de sa bouche, sans qu’elle ne l’ait réellement souhaité. Mais après tout, il s’agissait de la moindre des choses. Elle faisait bien ce qu’il fallait pour ne pas montrer à son entourage qu’elle avait été légèrement perturbé par ce qu’il était arrivé dans la salle du trône de l’Exalt. Cette barrière qu’elle avait construite enfant s’était aujourd’hui modifiée, elle était devenue plus sarcastique envers le monde alentour, peut-être plus dur même.

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Sujet: Re: The city that never sleeps [PV Adaline]   Dim 31 Juil - 15:54
Un bruit parasite entra dans les esgourdes de Ko'Wei. Cependant, le mage noir était sur que l'on ne s'adressait pas à lui. Il ne connaissait ici personne qui pouvait se permettre une telle familiarité avec lui. Qui s'adressait aux gens comme ça dans la rue ? Non, cette voix devait s'adresser à quelqu'un d'autre, surtout que Ko'Wei n'avait pas du tout l'impression de tirer une tronche spéciale.

Pendant quelques secondes, le regard du mage noir se perdit dans la foule. Quelle horreur. Il n'y avait pas d'autre mots. On pouvait voir des gens ivres dont les esprits commençaient à s'échauffer. Encore quelques mots prononcés avec difficulté et les coups de poings commenceront à voler. Là bas, un homme s'empressait de ranger son alliance, signe du plus sacré des sacrements envers Naga et une autre personne, avant de monter dans un hôtel donc la qualité semblait plus que douteuse aux bras d'une femme sans alliance et qui portait visiblement plus de maquillage que de vêtements. Ou bien encore, dans un coin, un enfant en guenilles qui tenait dans ses bras maigres un balais plus grand que lui et qui faisait le propre devant un bar visiblement mal famé, du moins pour les critères de Ko'Wei.

Cette capitale du plaisir et de la joie n'était pour le mage noir qu'un cloaque de haine et de mensonges, un trou a rat où le bonheur des uns ne naissait que du sang et des larmes des autres. Le visage de Ko'Wei se déforma encore un peu plus avant de se rendre compte que personne n'avait répondu à la phrase qui avait été dite non loin. Ainsi, on s'adressait bien à lui ?

Ko'Wei dirigea son regard vers la personne qui avait parlé. Les saphirs du mage détaillèrent la jeune femme de haut en bas tandis que naissait sur son visage un léger renfrognement de dégoût. Ko'Wei n'arrivait pas à se former une opinion sur la jeune femme. D'un coté, elle avait le même genre de port noble et altier que le mage noir pouvait parfois affecter. De l'autre, elle avait, si on ne portait pas vraiment attention aux détails, toute l'apparence d'un habitant de Viralys comme il avait pu en voir des centaines passer sous son balcon.

Que pouvait elle bien vouloir ? Non. De quoi se mêlait-elle ? L'expression qu'affectait Ko'Wei n'était que son soucis à lui et lui seul. De plus, pourquoi faire semblant de s'amuser ? C'était un concept qui dépassait le mage noir. D'un ton presque mielleux mais dans lequel on pouvait sentir une pointe d'hostilité, le mage répondit.

« Oh, pardonnez moi, je ne savais pas que mon expression du visage était aussi importante pour que les gens s'amusent. Je vais faire en sorte de faire semblant maintenant. »


Il lui adressa un sourire forcé, rictus étrange composé de babines retroussées et de dents apparentes, vision distordue et un poil moqueuse de la joie qui faisait ressembler le mage noir plus au clown prince du crime qu'a un homme heureux. Il prit cette expression quelques secondes avant de reprendre son air renfrogné.

« C'est bon, je m'amuse assez pour vous ? Si vous voulez, vous pouvez aussi aller interpeller le gamin là bas, il a pas vraiment l'air d'être joyeux non plus. Pourtant, il a vraiment l'air d'avoir des raisons de vouloir profiter de cette soirée. »

Ko'Wei dressa son bras dans la direction du jeune balayeur de rue, qui regardait passer les gens richement vêtus avec une pointe d'envie et de tristesse dans le regard, avant de reprendre son balais pour ramasser les morceaux de nourriture que les gras clients faisaient tomber au sol.

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Sujet: Re: The city that never sleeps [PV Adaline]   Mar 16 Aoû - 2:32
Le sarcasme pesant dans la voix ne surprit pas Adaline. En tant que garde de la ville, elle s'était souvent rendue compte que les étrangers étaient rares à apprécier l'euphorie collective, limite malsaine, qui régnait dans la capitale. D'autres venaient spécialement pour ça. Faire le plein des trois péchés les plus capitaux de la race humaine : la luxure, la paresse et l'envie. Malheureusement, les quatre autres péchés restant étaient commune mesure en Rosanne. Les marchés les plus juteux et illégaux se déroulaient dans les bas fond de la société sous l'oeil protecteur des ducs dirigeant le pays. Rien de bien plaisant lorsque l'on habite réellement le lieu. Mais Adaline avait fini par devenir amère à force d'être témoin de ce genre de choses quotidiennement. Elle n'y prêtait même plus attention. Une sorte d'instinct de survie l'empêchait de s'en inquiéter. Pourtant, ce qu'elle avait vu en Ylisse avait contribué à lui faire changer sa perception des choses. Il y avait peut-être un moyen de ne pas agir de cette manière. Peut-être était-ce un problème d'éducation, de perception des choses. Mais la vie en Ylisse semblait si simple... si pure... et naïve. C'était cette naïveté, cette confiance aveugle qu'elle leur enviait. Elle avait toujours fait parti des touristes de toute façon.

"Votre bonheur est loin d'être importante pour les gens alentours, vous voyez, ils ne s'inquiètent que d'eux-même. Mais vous avez une expression à faire fuir un ours. Ça ils s'y intéresse un peu plus. Un étranger n'est pas supposé faire de grabuge, vous comprenez? Même si je suis persuadée que vous pourrez vous défendre tout seul!"

L'ennui était qu'elle pouvait faire semblant de ne se soucier de rien, ce n'était pas l'entière vérité. Elle se contentait pourtant de regarder les yeux grands ouverts la misère du monde, sans rien essayer pour apaiser son fardeau. La jeune marquise se disait que, lorsqu'elle serait devenue la représentante de sa famille, elle pourrait utiliser son héritage pour améliorer les choses. Mais ça ne suffirait pas. Une seule bonne action ne ferait pas la différence. Il fallait inscrire ce comportement dans les moeurs. Adaline finit par regarder le fameux gamin qui balayait devant l'entrée du bar et eu un sourire en coin. Ce maigrelet s'appelait Ernest, et il était l'enfant le plus intelligent qui grouillait dans ces rues. Il était discret et efficace, et maintenait les autres gamins d'une main de fer. Il était célèbre dans le coin, et personne ne risquait de s'en prendre à lui. La pègre avait dû trouver un autre moyen de s'organiser qu'en suivant les lois bêtement rédigées par les ducs de Rosanne. Et pour ça, aucun noble ne pouvait leur en vouloir. D'ailleurs, il était ridicule avec ce balais dans les mains. Il réussissait à passer assez inaperçu pour que même la jeune marquise, qui était pourtant habituée à ces rues ne le remarque pas. Ernest était sur une affaire à n'en pas douté. Au lieu de l'interpeler pour le saluer, elle se contenta de hocher imperceptiblement la tête dans sa direction, il n'était pas la peine de griller encore plus sa couverture.

"Croyez-moi, il s'amuse. Mais continuez donc à vous morfondre, je suis persuadée que vous avez pleins de choses à raconter à la Lune."


Elle fit une révérence grossière à son interlocuteur et le salua de la main avant de s'éloigner, lui tournant le dos. Elle voulait se diriger vers la taverne la plus proche. Boire un peu de liqueur de cerise avant de ressortir et profiter de l'immensité de la nuit, sans en subir le froid mordant. Mais sans comprendre exactement pourquoi, cet homme l'énervait. Peut-être que sa manière d'afficher clairement sa désapprobation face à tout ce qu'il se passait sur la Place des Lumières, lui déplaisait particulièrement. Il fallait arrêter de se donner le droit de juger tout ce qui nous entourait, simplement pour nous rassurer de ne faire parti de cette catégorie de personne que l'on surnommait gentiment les "désaxés" dans un coin de notre tête. Adaline était passée maîtresse dans le jugement, mais depuis qu'elle avait faillit frôler la mort... et bien elle leur accordait plus le bénéfice du doute. Tout le monde ne pouvait pas penser de la même manière, de par leur passé et leur éducation. Leur caractère rentrait évidemment en compte, mais mieux ne valait pas trop le montrer en public. Elle se retourna donc, marchant en arrière, pour lui lancer une dernière phrase. Qui énerverait tout particulièrement son père.

"Je crois avoir remarqué la carriole du seigneur Ki'Wo devant la bâtisse. Dis-lui de passer au domaine d'Escrot d'Estrée si l'envie lui prend. Mon père serait certainement ravie de le recevoir une nouvelle fois."

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Sujet: Re: The city that never sleeps [PV Adaline]   

The city that never sleeps [PV Adaline]

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